Voix argentines
Extrait
J’ai cherché ton corps
dans les ruelles portègnes
Au son des pas
d’un danseur de tango
Au creux des reins
d’un marin de passage
Au fond du lit
de maris innocents
Tu étais étrangement
au pied d’un grand beffroi
à attendre patiemment
que je vienne t’embrasser